Myriam Mezieres
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Revue de presse

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L'avis de la presse

Les Cahiers du Cinéma - Hélène Frappat  
Comme tous les grands films, Fleurs de sang ne nous aura transmis rien d'autre que la nécessité absolue, pour un spectateur décidé à survivre, d'arrêter de faire son cinéma.

Ciné Live - Grégory Alexandre  
Le douloureux chemin de croix d'une femme inadaptée au monde de sa fille, enjeu d'une saisissante composition de Myriam Mezières.

Studio - Sophie Benamon  
La comédienne porte ce film (...) à des sommets d'émotion.

Télérama - Louis Guichard  
Un aussi impérieux désir préserve le film des écueils qui le guettent à tout moment, l'exhibitionnisme, la naïveté, l'outrance, le ridicule. Il permet aussi, alors qu'on craint, au bout d'une heure, un déraillement fatal, d'acheminer ce récit abracadabrant vers une fin absolument poignante : de celles qui réhaussent, à posteriori, la valeur des bobines les plus kamikazes.

Les Inrockuptibles - Vincent Ostria  
(...), mais toutes ces imperfections ne font que rendre ce film précieux et émouvant comme un fragile bibelot de pacotille, véhiculant un charme plus tenace et enivrant qu'un objet d'art estampillé.

Libération - Philippe Azoury  
La méchanceté, la cruauté, la parenté qui relient "viscéralement" l'actrice-cinéaste à l'histoire de ce film possèdent un corps : celui de Myriam Mézières, la femme comme mante religieuse. Courez le voir, ce corps, c'est celui d'un papillon nu comme un ver à soie, brûlé par la lumière des sunlights ou par la cendre d'une cigarette. On ne ressort pas intact de Fleur de sang, film vénéneux. Tant mieux.

Chronic'art - Frédéric Bas  
La beauté du film tient dans cette fusion constante entre les deux personnages, ce jeu de rôles permanent qui finit par donner aux frontières mère/fille des contours troublants entre le lien incestueux et le transfert d'identité.

L'Express - Sophie Grassin  
(...) une sincérité parfois touchante, mais plus souvent à la limite de l'autocomplaisance, et un narcissisme intense. La deuxième partie du film, consacrée à Pam, est moins attendue que la première. Mais le tout souffre d'un criant déficit de mise en scène.

Le Monde - Jacques Mandelbaum  
Non sans complaisance ni maladresse, le film déroulera ce fil de la grandeur et de la souffrance de la vocation artistique jusqu'au bout, sous la forme d'un drame final d'autant plus attendu qu'annoncé dès le début des opérations.

Zurban - Eric Quéméré  
(...) une intrigue "libertaire" amoindrie par une certaine lourdeur mélodramatique.

Monsieur Cinéma - Camille Brun  
La dernière partie, malgré l'excellente interprétation de Louise Szpindel, dans le rôle de Pam à 14 ans, se déroule sans vraiment de surprises. Un film sympathique qui laisse donc un peu sur sa faim...

Cinélibre - Jean-Max Méjean  
Au final, un film qui se donne pour épicentre le pathos et qui ne parvient pas à nous faire pleurer, ni rire à l'occasion. On dirait que le scénario lorgne vers Almodovar et le film pourrait d'ailleurs s'appeler Rien sur mon père.

Télé Obs Cinéma - Marie-Elisabeth Rouchy  
(...) pretexte pour le couple Tanner-Mézières d'une plongée en enfer indigeste à force de vouloir tout montrer (...).

Aden - Philippe Piazzo  
Cette façon agressive de jeter sans précaution tout et n'importe quoi à la face de l'autre (ici, le spectateur) semble vaine et puérile. Elle entraîne défiance et indifférence ; et l'autoportrait tourne à vide.

Première - Nicolas Schaller  
L'histoire (...) a clairement pour but de mettre mal à l'aise. Mais, à défaut d'être constructif, ce malaise tombe vite dans le ridicule.

La mante Mézières : «Fleurs de sang», film vénéneux.
Le cinéma français est en manque de Myriam Mézières. (...) Elle est la personnalité capable de dialoguer avec Catherine Breillat sur ce qu'est la représentation du désir féminin, sur la manière dont le cinéma ou les mots peuvent rendre compte de la brutalité et de la douceur soyeuse de cette jouissance. Qui filme comme on se donne, dans un lien charnel continuellement à vif, sans fausse pudeur ? C'est bien elle...
(...) La méchanceté, la cruauté, la parenté qui relient «viscéralement» l'actrice-cinéaste à l'histoire de ce film possèdent un corps : celui de Myriam Mézières, la femme comme mante religieuse. Courez le voir, ce corps, c'est celui d'un papillon nu comme un ver à soie, brûlé par la lumière des sunlights ou par la cendre d'une cigarette. On ne ressort pas intact de Fleur de sang, film vénéneux. Tant mieux.
Libération



Une mère et sa fille à la dérive
(...) La force de Myriam Mézières est de savoir ce qu'elle veut. Ce qu'elle veut montrer : d'abord son corps, reflet théâtralisé du passage des années au fil de l'histoire. Ce qu'elle veut raconter : des liens indéfectibles, par-delà les avanies de l'existence. Un aussi impérieux désir préserve le film des écueils qui le guettent à tout moment, l'exhibitionnisme, la naïveté, l'outrance, le ridicule. Il permet aussi, alors qu'on craint, au bout d'une heure, un déraillement fatal, d'acheminer ce récit abracadabrant vers une fin absolument poignante : de celles qui rehaussent, a posteriori, la valeur des bobines les plus kamikazes.
Télérama



Un abandon rare, profondément émouvant
(...) Peu connue en France malgré quelques apparitions ici ou là -notamment dans quelques films de Tanner mais aussi chez Paul Vecchiali ou Andrzej Zulawski- Mézières s'y révélait comme une actrice extraordinaire, offrant son corps et ses tourments dans un abandon rare, profondément émouvant. Sa charge et sa fougue érotiques, débordant le cadre plus d'une fois, signaient une présence troublante et magnétique à la limite du borderline. Comme son beau titre l'indique, Fleurs de sang appartient tout entier à ce tempérament sauvage et beau.
Chronic'art



Myriam Mézières, Mi vida loca
Actrice, chanteuse, danseuse, Myriam Mézières est surtout connue pour sa collaboration avec Alain Tanner, le plus grand des cinéastes suisses, dont elle est depuis 1976 la complice et la muse, héroïne charnelle d'"Une Flamme dans mon coeur" et du "Journal de Lady M.", deux films en partie autobiographiques. Mais son parcours ne se résume pas à cette belle osmose artistique : comédienne chez Vecchiali ("Change pas de main", "Corps à coeur"), Mocky (Un Linceul n'a pas de poches") ou Zulawski ("Mes nuits sont plus belles que vos jours"), Myriam Mézières tourne beaucoup en Espagne, où elle est aussi une femme de scène pas comme les autres, prêtresse de spectacles érotiques qui exacerbent la dimension sexuelle propre à la plupart de ses rôles. Rencontre avec cette mystérieuse apatride qui vient de co-réaliser (avec Alain Tanner) son premier long-métrage, Fleurs de sang, film rebelle empreint de fureur et de passion. Evidemment.
A partir de Change pas de main, vous avez été cataloguée "actrice subversive" ?
Oui, évidemment. Vous pensez que les actrices d'aujourd'hui, à part la sublime Christine Boisson, risquent leur image ? Je ne les attaque pas mais, dans l'ensemble, c'est quand même très "petite coupe au carré". J'aime quand, dans un film, on voit des gens qui émanent un autre monde. C'est ça aussi dont parle Fleurs de sang , de cette différence. En France, je n'aurais jamais pu jouer les spectacles que j'ai créés en Espagne, sinon je pouvais dire adieu à ma carrière.
(...) Le film commence par une danse du ventre, un gros plan de votre nombril. Est-ce que c'était un pied de nez au narcissisme dont on pouvait vous accuser ?
On m'accuse de tellement de choses, je vais finir par me foutre de ce qu'on peut penser de moi. Ceci dit, je ne suis pas exhibitionniste. On dit que je suis provocatrice mais moi je trouve que je suis aussi innocente que le petit oiseau qui est sur la branche.
Chronic'art



Les héros du mois
"Je me méfie du mot pudeur qui favorise tant de paresse, de lâcheté et d'académisme. Moi, je suis une exhibitionniste qui a, sérieusement, de la rigueur." Myriam Mézières, actrice, chanteuse, scénariste
Première, avril 1994



Le Journal de Lady M
Récit brûlant d'un amour à deux, puis à trois. Un malaise excitant.
Edouard Waintrop, Libération.



Le Journal de Lady M
Une histoire où le désir circule.
Cahiers du Cinéma n° 478



Lady Aime
Après le Caire, la Catalogne, toujous Tanner, toujours des déplacements amoureux, toujours du corps à corps qui choque. "Je ne suis jamais restée plus de trois mois dans un même pays", dit Myriam Mézières, nomade du pays des passions.
Cécile Lecoui, Fémina.



La française la plus érotique de Barcelone
Myriam Mézières, la Mercedès ou la lady M des films d'Alain Tanner, cartonne à Barcelone avec Extrana fruta, un spectacle musical à caractère érotique qu'elle crée pour le théâtre Malic et qu'elle chante en espagnol et en anglais. Ce fruit étrange à saveur de sexe parle du corps féminin et donc de l'âme. Actrice et chanteuse à part entière, Myriam utilise sa formation de danseuse orientale pour parler de la femme de façon poétique et sexuelle.
Depeche Mode, par les météorites avisées



      

Myriam Mezieres - La musa des erotismo


Reina del mestizaje, Musa erotica. Actriz. Guionista. Escritora. Myriam Mézières tiene claro que la "mujer no debe renunciar a sus atributos de seducion y a su lado mitico y misterioso".
Rosa M. Tristan



      

La sopresa de Mézières
Myriam Mézières fue una sorpresa, una convulsion inesperada de luz y talento, mas alla de lo fisico, muy por encima del sexo. Ademas de escribir magnificamente, es capaz de hacer estalladar todos los corchetes de la camisa de fuerza que aprisiona la feminidad, de desnudar el pudor ofreciendo un catalogo bellisimo de cicatrices interiores.
Paz Puente, La Coruña.



      

La verdad


"El erotismo es una forma de honestidad"



El erotismo es cosmopolita
Las calidades artisticas de Myriam Mézières, que son mucha y generosas, especialmente como cantante derecursos multiples.
La Vanguardia - jueves, 19 agosto 1999



            

Con sexo, pero con seso, la actriz Myriam Mézières, musa del realizador suizo Alain Tanner, se dispone a entablar un cuerpo a cuerpo con los espectadores en "Extrana fruta", que manana llega al escenario del Alfil. Ritmo, historias y canciones son los frutos mas o menos prohibidos de su nutritivo espectaculo.



            

Guia del Ocio
Sus origenes han marcado de forma determinante su vida. Hay quien la llaman la "Reina del Mestizaje".



Myriam Mézières, la musa del cine erotico europeo.



Se meneja como pocas entre el arte y el morbo. Myriam Mézières presenta en Madrid un calido cuerpo a cuerpo con el publico llamada "Extrana fruta". Te apetece conocer que hay dentro de esta mujer libre y sin prejuicios.
"No llevo sosténni bragas porque quiero conservar cierta sensacion de inocencia, como si hubiera venido al mundo media hora antes de salir al escenario".
El Pais



"Sóc tan innocent com un ocell"
El Temps - març 1999



"Pago alto para ser libre"
El Mundo



Recommended
Mezieres, as an actress torn between Racine and strip-tease, instinct and intellect, gives a sensational performance: fullthrottle, naked, nothing held back. She will galvanize, divide and fire up audiences like no other performer at the festival.
Michael Wilmington, Los Angeles Times - Tuesday, April 25, 1999



A stormy Passion in "flame"
Vincent Camby, The New York Times



Inflamatory
Actress Myriam Mézières has a flame in the heart offscreen, too.
Gerald Peary - The Boston Sunday Globe



"The film is about two obsessive loves and the havoc they wreak. It's amazingly frank, both sexually and psychologically, and Mézières gives a sensational performance".
Leonard Klady - Great Communicator



"Masterfull..."
The combinaison of Tanner's control and detachment and Mézières' fire and abandon is what makes a "Flame in my heart" so compelling.
Kevin Thomas - Los Angeles Times